Manger des mouches ?

Une ferme verticale à Poulainville, près d'Amiens, d'une surface totale d'environ 40.000 m2 (4 hectares)  et d'une hauteur de 35 mètres pour la zone d'élevage, a été construite pour un prix de 100 millions d'euros environ. Spécialisée dans l'élevage et la transformation de "scarabées molitor" à destination de l'alimentation humaine, le site devrait produire à terme pour cette année 2023 jusqu'à 200.000 tonnes de produits transformé.
Nous pouvons constater que la France a un rôle majeur dans l'instauration du nouvel ordre mondial !
Car maintenant "ils" veulent imposer des insectes pour la consommation alimentaire humaine sachant pertinemment que ces produits sont toxiques pour l'homme.
Retour sur une nouvelle folie : les insectes dans nos assiettes.
La nature est bien faite. Le fait même d’éprouver un sentiment de répulsion à l’endroit d’une chose n’est jamais le fruit du hasard. Ainsi, si la plupart d’entre nous n'approuvons pas la légalisation du mariage homosexuel, ce n’est pas par homophobie à l’endroit de la personne concernée (l’homosexualité privée ne dérange que peu de monde), mais bien plutôt parce que nous savons intuitivement que la « normalisation-universalisation » absolue de l’homosexualité mettrait en péril la reproduction de l’espèce. Les gays ne peuvent pas en effet se reproduire. 
Quand l’être humain rejette spontanément une chose, c’est qu’en général cette chose n’est pas bonne pour lui. Ce principe, qui fonctionne d’ailleurs également pour les espèces animales, est à la base de l’évolution. (sans pour autant être un partisan de Darwin, loin s’en faut…)
Or, ce phénomène s’applique aussi, bien évidemment, à la nourriture. C’est pourquoi, pour ne citer qu’un exemple, nous avons tous une répulsion naturelle face à l’idée de boire notre propre urine ou de manger nos propres excréments. Car si nous le faisions, nous mourrions par empoisonnement très rapidement. 
Bref, nous n’aimons pas ce qui peut nous nuire. Que ce processus soit souvent inconscient ou instinctif  n’enlève rien à sa véracité.
Ainsi, si tout être humain sain d’esprit éprouve aussi un sentiment de rejet naturel à l’idée de manger des insectes, ce n’est, là aussi, pas dû au hasard. C’est que, comme toute étude sérieuse le montre, se nourrir avec des insectes serait à court terme très nocif pour notre santé.
Fort de ces considérations, une question devient inévitable. Pourquoi donc cet acharnement du "politiquement correct" à vouloir à tout prix nous habituer à l’idée de manger un jour des insectes, « nourriture » qui pourtant, et à juste titre, nous dégoûte?
Au fond, cela n’a rien d’étonnant. 
Et la raison secrète de ce processus ne fait que s’inscrire logiquement dans la volonté globale de déshériter l’être humain, de faire « table rase » de toute sa mémoire. Bref, il faut le déshabituer de tout, le rendre vide, faire en sorte qu’il n’ait plus de souvenir, plus de racine culturelle, plus d’histoire, ce qui le rendra infiniment malléable pour le nouveau normatif satanique d’indifférenciation qu’on lui imposera bientôt. 
C’est que manger un bon steak ou des pommes frites, pourrait rappeler aux hommes postmodernes, cette terrible époque où ils étaient tous des salauds de fascistes intolérants et non « inclusifs », encore capables de différencier une femme d’un homme, une petite fille d’un petit garçon, un chien d’un chat et surtout, le bien du mal.
Cette volonté de la dictature culturelle mondiale de vouloir maintenant aussi changer radicalement nos habitudes culinaires n’a d’autre but que d’accélérer ce processus qui commença avec le protestantisme et la franc-maçonnerie spéculative voici presque 500 ans : vider l’être humain de ce qui vient de Dieu pour pouvoir le remplir ensuite plus facilement avec ce qui vient du diable ! Même processus finalement qu'en informatique où il est nécessaire de vider la mémoire d’un disque dur pour pouvoir lui installer un nouveau programme.
Manger, c’est vivre. Sans nourriture, nous mourons. 
Changer les codes fondamentaux de la nutrition aura donc un impact psychologique et culturel extrêmement profond chez l’être humain.
En outre, et pour des raisons évidentes, cela sera d’autant plus vrai pour les chrétiens qui ont reçu le message essentiel du Christ lors de la Cène, ce repas instituant la base de la religion catholique. Oui, pour les chrétiens, le repas garde toujours en soi quelque chose de sacré et remplacer, si c’était possible, le pain et le vin de Vie par de la vermine c'est attaquer le christianisme. (Tous les grands changements modernes réussis ont cette finalité)
Nous devons considérer l’introduction (qui va être imposée petit à petit) d’insectes dans la nourriture humaine comme une attaque « de plus » contre le réel, au même titre que l’étaient déjà la légalisation du meurtre de l’innocent absolu qui est l’enfant-à-naître, le mariage homosexuel « contre Dieu et nature », la P.M.A « pour toutes » ou encore la théorie du genre.
Après nous avoir imposés, hélas avec succès, les lois d’infamie de dénis du réel par le torchon de la soumission (masque), la dictature essaye maintenant de nous imposer l’amour de la vermine. C’est qu’il s’agir d’avilir l’homme jusqu’à ce point de non-retour où il ne sera plus capable de percevoir en lui, l’image de Dieu. 
Toute cette continuité est logique.
Source partielle : Jean-Pierre Aussant

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire