Tyrannie ou dictature ?

Le moins qu'on puisse dire, c'est que notre chef d'état n'est pas vraiment, aujourd'hui, porté dans le cœur de la majorité de la population. La désastreuse gestion de l'épisode Covid n'a très certainement pas agi en sa faveur ! Certains n'hésitent pas à parler de dictature devant les mesures prises alors, parfois de façon illégitime et arbitraire, pour rabaisser le peuple et l'obliger à l'obéissance. 
Le plus insupportable demeure sans nul doute la situation de tous ces professionnels de santé abominablement "éjectés" de leurs postes sous prétexte qu'ils n'étaient pas "injectés" ! Ils ne sont d'ailleurs toujours pas REINTEGRES A CE JOUR et ne le seront vraisemblablement jamais !
Macron est il un dictateur ? 
Avec l'abbé Rioult, reprenons l'ensemble de toutes les actions entreprises sous sa gouvernance et rapprochons celles-ci des normes de la dictature ! 
La conclusion s'imposera d'elle même ...
Elu avec 66.6 % ! Prémonition ?
* Imaginons un homme arrivé au pouvoir grâce à la propagande de médias aux mains d’une mafia supranationale dans le but de servir les intérêts criminels de cette mafia. Et qui, malgré cette manipulation de masse, n’arrive à obtenir que le consentement d’1/6e de la population.
Qui, pour se maintenir en place, engage une féroce répression contre le peuple et donne ordre à ses gardes de le frapper sauvagement jusqu’à couper des mains et à arracher des yeux. 
Un peuple massacré
* Que, dans le même but, cet homme, au pouvoir de plus en plus contesté, mette en place un arsenal législatif liberticide pour censurer tout propos critique ou gênant au nom d’une prétendue fausse nouvelle ou d’une incitation à une haine jamais définie. 
* Que ce même homme, afin de réduire à néant les libertés religieuses et civiques les plus élémentaires, prépare un système de surveillance généralisée de la population en maîtrisant toutes les données de la vie des citoyens, données centralisées dans une simple puce grâce à laquelle le pouvoir pourra, de manière arbitraire, exclure de la vie sociale tout opposant au nouvel ordre mondial. 
La Chine : laboratoire du crédit social
Imaginons toujours que ce même homme, pour favoriser la mafia qui l’a mis au pouvoir, brade à des intérêts privés et étrangers, les biens de la nation et des entreprises stratégiques. 
Que ce même homme autorise et organise par ailleurs le pillage de l’épargne et de la retraite du peuple au profit de fonds d’investissement privés et spécialisés dans la spéculation et l’usure. 
Expérimentation sociale
démesurée et déstabilisatrice
Que ce même homme laisse entrer volontairement, massivement et dangereusement des étrangers sur le sol national, afin de remplacer par une masse d’individus déracinés un peuple homogène et enraciné, et donc plus rétif à la tyrannie technocratique. Que pour ce faire, il favorise une justice laxiste pour les criminels allogènes et extrême pour les délits des indigènes. 
La folie à grande échelle
Que ce même homme, aux ordres d’une minorité apatride et cosmopolite, après avoir usé d’informations mensongères fondées sur des chiffres falsifiés et manipulés, décide la séquestration du peuple tout entier en l’assignant à résidence, en imposant ainsi une torture psychologique de masses comparable au traitement que l’on inflige dans le système carcéral aux criminels les plus dangereux, entraînant des dommages irréversibles dans le cerveau, des dépressions et des suicides, plongeant aussi dans la ruine et la faillite, et ce pour le plus grand bénéfice des multinationales et de la finance apatride internationale, des centaines de milliers de personnes, privées de leur droit au travail. 
Imaginons que ce même homme agresse non seulement la nation mais aussi chacun de ses membres dans leur intégrité corporelle par l’imposition de vaccins inutiles ou dangereux. 
l'hydroxychloroquine déclarée
inefficace et même néfaste
Que ce pouvoir, après avoir invoqué de façon mensongère l’urgence sanitaire, interdise des médicaments, peu coûteux et ayant fait leurs preuves durant de longues années, en les classant indûment dans la catégorie de substances vénéneuses. 
Imaginons que ce même homme, outre piller les richesses nationales,  agresse les particuliers en les accablant de charges et de taxes qui peuvent représenter jusqu’à plus de la moitié du fruit de leur travail obtenu par la sueur et le sang. 
Que ce même homme favorise le vol en bande organisée à grande échelle dans le système social et fiscal permettant aux grands banquiers, à l’aide d’un montage comptable opaque, de voler en toute discrétion des milliards dans les dépôts bancaires et les cotisations sociales. 
Imaginons que ce même homme agresse les citoyens, non seulement dans leurs corps et leurs biens, mais encore dans leurs âmes en promouvant officiellement et légalement les pires perversions telles que : marchandisation de l’être humain, assassinat de l’enfant à naître, légalisation de l’euthanasie, perversion en tout genre, union contre-nature, laïcité maçonnique…
Suppression des "trop malades" par le Rivotril

Autant d’idéologies contraires au bien commun qui détruisent toute justice et toute vérité et dont les pratiques immorales et antireligieuses déposent dans le cœur du peuple la semence de l'apostasie la plus radicale de Dieu. 
Un tel homme serait un tyran. 
Un tel tyran risque non seulement d'être renversé par la multitude mais aussi supprimé par n’importe quel citoyen se sentant en état de légitime défense face à une tyrannie grave, permanente et universelle.
Alors ? Quel sera le mot de la fin ?
Peut-être cette remarque de saint Thomas d’Aquin : 
« Que si l'on ne peut trouver aucun secours humain contre le tyran, il faut recourir au roi de tous, à Dieu [qui peut convertir le cœur cruel du tyran ou le réduire à un état misérable…] Mais pour que le peuple mérite d'obtenir ce bienfait de Dieu, il doit s'affranchir du péché, parce que c'est pour la punition des péchés que des impies, par une permission divine, reçoivent le pouvoir, [puisqu’il] est dit au livre de Job que Dieu “fait régner l'homme hypocrite à cause des péchés du peuple” (34, 30). Il faut donc ôter la faute pour que cesse la plaie de la tyrannie. » (De Regno, I, 6) 
(D'après l'article de l'Abbé Olivier Rioult sur  www.lasapiniere.info)

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